presse
Naturalizaçao
" Danseurs sous vitrines Naturalizaçao, projet de la chorégraphe et scénographe Alessia Luna Wyss, s’interroge sur la part primitive de notre condition humaine : qu’est-ce que le sauvage, qu’est-ce que le cultivé ? À travers les vitrines de la galerie Zsenne à Bruxelles, cinq danseurs (auxquels s’ajoutent ponctuellement quelques invités) s’exposent dès 10 heures du matin au regard des spectateurs. En découle, selon la chorégraphe, une forme de « laboratoire aux règles très précises », qui ne ressemble ni à un spectacle, ni à une improvisation. Du 4 au 8 avril, à la Galerie Zsenne."
NDD Printemps 17 . N°69, rubrique "Autour de la danse", page 22.
Enquête encours
Norma Arm
http://www.cnes-observatoire.net
L’installation urbaine des Bricolettes
http://bruseleke.skynetblogs.be/zinneke-parade-2012-desordre
http://www.zinneke.org/Les-Installations-11-27-05-2012
Zéro Tués
Solitude à quatre
Les personnages
“(…) Il semble que le mode d’emploi de ” la vie ” ne leur a pas été bien communiqué, le comment vivre sa vie en harmonie… pour soi, pour l’amour à partager, à deux et avec les autres. Alors, comme de mauvais bricoleurs, ils construisent des tables bancales, laissent le mobilier emballé, dorment dans un hamac au-dessus d’un matelas, font bruler une pizza ou mangent de la moussaka pas cuite, prennent la nuit pour le jour, boivent et fument n’importe quoi, vivent un peu n’importe comment.
La nuit, toujours, partout
Si les téléphones sont les “interlocuteurs valables” entre ces personnes et tiennent la vedette dans un décor dépouillé, la scénographie d’Alessia Wyss est simple mais très habile pour certaines scènes délicates à représenter et elle utilise à merveille le plateau assez particulier de l’auditorium des Riches-Claires.”
Suzane Vanina, Rue du théâtre, 22 mars 2012
Quatre personnes sur le fil
“(…) Les téléphones pendant au bout de fils au-dessus de la scène imaginés par Alessia Wyss et les lumières en clair-obscur créent une ambiance particulière, sur le fil, entre le jour et la nuit, à l’image des dialogues, entre amour et malaise. Même si l’un des couples est heureux, un voile de tristesse et de noirceur semble s’abattre sur les quatre personnages et permet à l’auteur d’aborder avec délicatesse le thème du suicide.”
Camille de Marcill, La libre, 16 mars 2012